Les artistes ayant participé au 7ème numéro de la revue Lou Can vous invite à une exposition virtuelle ayant lieu sur le système de réalité virtuelle FrameVR. Les Chroniques Artistiques Niçoises remercient vivement Marilia de Laroche, Rémy Saglier, Jacques Drouin, Peter Larsen, Charles et Marie-Noëlle Turcat et Jérémy Taburchi pour leur participation à cette expérimentation virtuelle et numérique. Le titre de l’exposition est « Tropiques numériques ».
Un septième numéro placé sous le thème « Tropiques »
Après l’Aube, Guerre(s), la Vague, le Futur, Bosio, la Grande Bouffe, voici donc le septième numéro de la revue Lou Can avec pour cet opus le thème « Tropiques ». Nous pouvons vous l’assurer, nos aimables contributeurs, artistes, photographes, poètes et écrivains, ont été particulièrement inspirés. Nul doute que vous apprécierez cette édition toute de saveurs tropicales. A noter que la charte graphique de la couverture et des pages intérieures évolue légèrement, pour souligner le désir de renouveau qui est souhaité avec ce numéro.
La couverture du Lou Can 7 sur le thème « Tropiques », illustrée par un Masque de Maurice Maubert intitulé « Masque Œil II ».
Réception du bon à tirer du Lou Can 7
Lou Can is back ! Nous sommes heureux de vous présenter le septième numéro de la revue au travers du bon à tirer tout juste reçu de chez l’imprimeur. Ce numéro sur le thème « Tropiques » est resté un certain temps dans les cartons, actualité oblige. Il mettra à l’honneur les textes et œuvres (dans le désordre) : Marilia de Laroche, Jacques Drouin, Stéphane Renaud, Karim Massoutra, Maurice Maubert (couverture), Rémy Saglier, Peter Larsen, Jean-Marc Fonseca, Jérémy Taburchi, Charles Turcat, Pati. Un merci particulier aux partenaires et annonceurs : Ferus Gallery, la Librairie-Galerie Laure Matarasso… Sortie prévue dès que possible.
Rémy Saglier, invité d’honneur de la revue pour quelques semaines
La revue Lou Can a souhaité mettre en avant le remarquable travail photographico-surréaliste de Rémy Saglier dont nous vous avons présenté deux photos il y a quelques jours. Nous profitons aujourd’hui de l’opportunité que laisse ce site internet d’afficher des photos pleines pages sur la page d’accueil afin de vous présenter quelques nouvelles photos de l’artiste.
Les œuvres, qui présentent des paysages marqués d’une forte irréalité, possèdent une claire dimension onirique, que le traitement graphique appliqué par le photographe, en donnant une force particulière et vibrante aux tons noirs, surcharge émotionnellement.
Ces images pourraient nous faire penser au rythme mélodique des images de Man Ray. Mais c’est plus volontiers à l’univers mental de David Lynch que la revue les associerait.
Vous pouvez contacter l’artiste depuis son site.
Quelques photographies de Rémy Saglier
Nous avons découvert ces deux magnifiques clichés réalisés par Rémy Saglier, un de nos fidèles contributeurs. Doté d’un regard créatif et d’un gros talent pour composer ses photos, Rémy Saglier nous livre régulièrement des images fortes, à la fois esthétiques et émotives, qui nous font percevoir d’une autre manière la ou les réalités du quotidien.
La photo de couverture de ce site web a été réalisée et proposée aux éditions Lou Can par Rémy Saglier. Un grand merci à lui.
Manifeste d’un artiste vacuitaire, par Bart No-Art
Si comme moi, cher lecteur, tu adhères à l’un des principes fondamentaux du Tractatus logico-philosophicus (ce dont je ne doute guère), tu t’interroges sûrement sur la nécessité d’un tel manifeste qui au premier abord pourrait passer pour un exercice d’onanisme intellectuel. Je te réponds sans hésiter, comme l’avait fait Wittgenstein à l’époque que « tout ce qui proprement peut être dit peut être dit clairement, et sur ce dont on ne peut parler, il faut garder le silence ». Nous retrouvant ainsi sur un terrain d’entente (je t’écris tu me lis, consensus fort pratique dans le cas présent), je vais pouvoir enfin rentrer dans le vif du sujet. Dans cette époque sombre où pour exister aux yeux d’un public, mû par une faim insatiable de nouveautés, les artistes se voient contraints de produire toujours plus (pour gagner plus), j’ai choisi comme démarche artistique de me la toucher sévère et de ne rien produire. Soyons clair je n’ai aucun rapport avec l’anti-art des dadaïstes ou le non-art des années soixante, je ne suis ni un bandit de grand chemin ni un nihiliste, ma conception de l’art se rapproche plus de celle de Claude Galien qui disait « Ars est systema præceptorum universalium, verorum, utilium, consentientium, ad unum eumdemque finem tendentium ». Me voilà donc tiraillé entre la sagesse antique qui veut que l’art exprime une vérité partagée par tous et les affirmations des penseurs modernes qui pour la plupart déclarent que l’art éloigne de la vérité.
N’en déplaise à Nietzsche, Freud et Debord les artistes ne sont pas forcément des pleutres, des névropathes ou de vulgaires bateleurs, ils s’évertuent à rendre leur vérité universelle et de ce fait je t’en offre une à toi public : toutes ces œuvres que tu as pu contempler et que tu contempleras, celles qui t’ont fait vibrer comme celles qui t’ont donné la nausée, une chose est sûre, c’est que moi Bart, je ne les ai pas faites. Te voilà équipé, cher lecteur, d’une vérité universelle qui ne te fera jamais passer pour un sot, ainsi lorsque la jolie blonde que tu croises lors d’une exposition te demandes « mais c’est super, c’est de qui ? », tu pourras répondre sans sourciller avec un air de connaisseur averti « je ne sais pas mais c’est sûrement pas un Bart ».
Mais ce n’est pas tout, elle est aussi utile, imagine le jeune critique d’art qui doit rendre rapidement un papier sur un tableau qu’il déteste ou qui ne l’inspire pas beaucoup, au lieu de tourner en rond devant sa page toujours blanche il pourra sans hésiter signifier à ses lecteurs que « bien que cette œuvre n’ait que peu d’attrait elle a au moins celui de ne pas avoir été produite par Bart ». Te voilà comblé autant que je le suis et je ne doute pas que tu iras prêcher la bonne parole dans les milieux divers et variés que tu fréquentes, je te salue lecteur et n’oublie pas « Bart n’a pas produit ça ». Je tiens à préciser qu’aucun philosophe, artiste peintre, sculpteur ou animal n’a été blessé lors de l’écriture de ce manifeste, de plus, si tu as l’âme d’un écologiste et te pose des questions sur son bilan carbone, je te propose de le lire, le relire ou le faire lire à d’autres en retenant ta respiration tu feras ainsi un petit geste pour la planète.
Bart No-art.
Ce texte rédigé par Bart Giordana dit Bart No-Art a été publié dans le Lou Can numéro 2 sur le thème « Guerre(s) » à découvrir sur cette page.
La photo de couverture de cet article est d’après un dessin de Märta Wydler.
Disparition de Bart Giordana, participant au Lou Can N°2
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris la disparition de Bart Giordana, alias Bart No-Art, participant au second numéro de la revue Lou Can. Musicien passionné, il aura illuminé les gens de son entourage par sa gentillesse et son intelligence. Toute notre affection va à sa famille. Bon voyage Bart !
Un marque-page signé Peter Larsen agrémente le quatrième numéro de la revue Lou Can
L’artiste Peter Larsen a souhaité offrir aux lecteurs de la revue Lou Can un marque-page illustré par une de ses oeuvres. Les acheteurs du quatrième numéro des Chroniques Artistiques Niçoises trouveront cet objet très design inséré dans le livre.
Attention, il s’agit d’une série limitée, il n’y en aura pas pour tout le monde !
Découvrez l’oeuvre de l’artiste sur son site : www.peterlarsen.art
Au sommaire du quatrième numéro de la revue Lou Can sur le thème du Futur
Sous réserve de validation du bon à tirer par les contributeurs cités, et sous réserve de modification par l’éditeur, le sommaire du quatrième numéro de la revue Lou Can sera :
I. Le Niçois et le Papou, par Jérémy Taburchi
II. Sophie Taam, Rêve-veille Space Time
III. Aazclairicia, F(x)=g(x)manifeste…
IV. Le futurisme chez les dindons, par Martin Caminiti
V. Sacha Sosno : Mais quel temps fera-t-il demain ?
VI. Peter Larsen, à propos du marque-page joint à la revue
VII. Plan B, l’alternative photographique de Rémy Saglier
VIII. Olympia Alberti, Où est le futur ?
IX. Le vacarme gagne, un poème de Gilbert Casula
X. Stéphane Renaud : Notre Futur
XI. Carl Keven-Korb, De ces douces organisations névrotiques
XII. No future / No limit, les utopies de Roxane Petitier
XIII. Traversée du futur, un texte d’Elisabeth Morcellet
XIV. Christophe Esnault, Gynoïde pleasure
Ainsi que les aimables contributions dans l’ordre de parution de Laurent Bosio, Virginie Broquet, Fabrice Monaci, Marilia de Laroche, Claude Rosticher, Philippe Jusforgues, Navalià.
Une Vague exposition à Nice
A l’occasion de la sortie du troisième numéro de la revue Lou Can, ses contributeurs ont été conviés à accrocher une de leurs oeuvres sur les murs de l’Atelier Franck Michel qui nous accueille pour l’occasion.
Le thème de cet opus de la revue étant « la Vague », il devenait alors évident d’intituler cette exposition improvisée « une Vague expo ».
L’exposition des artistes participant à la revue Lou Can est visible du 21 mars au 20 avril à l’Atelier Franck Michel, au 28 rue Ségurane à Nice (Village Ségurane).
Le vernissage se fera lors de la soirée de présentation du troisième numéro, à savoir le mercredi 20 mars 2013 à partir de 18h.
Seront également présentées lors de cette soirée deux estampes éditées par la revue Lou Can en partenariat avec l’Atelier Tchikebe (www.tchikebe.com), l’une de Patrick Moya, l’autre de Gilles Miquelis.
Vous trouverez des détails au sujet de ces sérigraphies monochromes dans des articles antérieurs.
Une estampe de Patrick Moya
Dans le cadre de la sortie du troisième numéro de la revue Lou Can le 20 mars 2013, une sérigraphie originale et inédite de Patrick Moya sera présentée au public. Jouant de l’homophonie du mot Vague (thème du troisième numéro de la revue), le facétieux artiste nous propose une estampe qu’il a intitulé « un Vague Moya » dont vous trouverez une reproduction ci-dessous.
L’estampe a été réalisé selon le procédé de la sérigraphie d’art par l’Atelier Tchikebe de Marseille (www.tchikebe.com) sur du papier Arches BFK Rives 300gr. La dimension de ces tirages est de 24x30cm.
Il a été tiré 40 exemplaires signés et numérotés par l’artiste.
Le prix de vente au public est de 250€.
Ci-dessous la reproduction de l’estampe de Patrick Moya :
Une estampe de Gilles Miquelis
À l’occasion de la sortie du troisième numéro de la revue Lou Can le 20 mars 2013 une estampe inédite de Gilles Miquelis sera présentée aux amateurs. L’artiste, qui peint usuellement des chiens et des femmes à la nudité offerte, nous a proposé à cette occasion de reproduire une de ses oeuvres « la Grande Évasion », qui montre un berger allemand promenant en laisse un chien plus petit.
Les tirages ont été réalisés par l’Atelier de sérigraphie Tchikebe de Marseille (www.tchikebe.com), sur du papier Arches BFK Rives 300gr. La dimension de ces tirages est de 24x30cm.
Il a été tiré 40 exemplaires signés et numérotés par l’artiste.
Le prix de vente au public est de 250€.
Vous pouvez découvrir ci-dessous une image de l’estampe de Gilles Miquelis :